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vendredi 6 septembre 2024

Mon livre sur la généalogie et l'histoire des Ottomans

La généalogie sur la Turquie est compliquée surtout à partir de 1923...

Voici mon livre au format epub :   https://a.co/d/hEKQWyX 


La couverture de mon livre.

L'exil vers la France des ottomans à Nice : leur généalogie. : Voyage dans le temps : Une quête généalogique ottomane.

(Édition Française) Kindle Edition.

Édition Française  par Erol GIRAUDY-OSMAN (Auteur), Pierre GIRAUDY (Editeur)  Format : Kindle.

Mon grand-père, le Damad Ottoman, conservait cet arbre en turc ancien parmi ses nombreux documents. Je l'ai fait traduire. Ainsi a commencé ma quête, que je vais vous raconter dans ce livre.
Il y a plus de quatre-vingts occurrences du terme "généalogie" et une trentaine du mot "arbre" - une petite forêt en somme. Seule une approche généalogique de ma famille ottomane m'a permis de comprendre la complexité de mes liens familiaux sur plus de 800 ans.

Mon arbre généalogique sur geneanet.


Rejoignez moi dans ce voyage à travers le temps, où les surprises et les découvertes n'attendent que d'être dévoilées sur la famille impériale de Turquie.

Le premier tableau représentant l'arbre généalogique de la dynastie ottomane est en cours de restauration. Peint à l'époque du sultan Abdülhamid Ier, ce tableau de 7 mètres carrés devrait être exposé au Musée national de peinture des palais l'année prochaine, en 2025.

Le partage d'informations avec des membres de notre famille m'a permis de compléter mes investigations et d'apporter des explications sur certains événements. Certaines personnes m'ont offert un éclairage nouveau sur des faits importants.

Au-delà de l'histoire familiale, ce livre explore également les outils modernes dédiés à la généalogie.
Je partage mes retours d'expérience sur l'utilisation de l'intelligence artificielle pour analyser et extraire des données de documents précieux pour tout généalogiste.

En tant que co-auteur de deux livres sur Copilot de Microsoft et OpenAI, et auteur de nombreux ouvrages techniques (12), j'apporte une perspective unique sur l'intersection entre technologie et recherche généalogique.   

Users Group Artificial Intelligence Andorra (U.G.A.I.A.) (ugaia.eu)   https://www.ugaia.eu/

J'ai joint à cet ouvrage de nombreuses sources généalogiques accompagnées de photos inédites et d'URL, offrant ainsi un aperçu visuel et technique de cette fascinante histoire et ma quête familiale.


Un voyage dans le temps : Une enquête généalogique. 

 
 

Le livre au format papier est disponible sur le site de la FNAC :



Mon arbre généalogique en éventail sur Geneanet.






Nos armoiries Ottomanes.


L'exil vers la France des ottomans à Nice : leur généalogie.

Voyage dans le temps : Une quête généalogique ottomane.

Auteurs·trices : Giraudy-Osman, Erol



La couverture de mon livre 628 Pages.


erol giraudy (fnac.com)



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 #Ottoman #turquie #IA #Exil #Nice #Genealogie #Amazon  #Kindle 

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Erol GIRAUDY 


Le Général et la Princesse

 Le Général et la Princesse.

 

La Princesse à NICE.

Le Général en Turquie. 

Dans un groupe privé nous échangeons des informations sur l'histoire de la Famille Ottomane.

Le texte d’origine :

V. Murad'ın kızı Fehime Sultan'ın ülkeden sürgün edildikten sonra 1924'te bir Alman subayından Nice'te bir eve taşınmasını istediği yardım mektubu şu şekilde imzalanmıştır: Fehime sultane et Mahmlut Bey.

 / Kaynak: https://www.beyaztarih.com/ensiklopedi/fehime-sultan

TRADUCTION :

La lettre d’assistance que la fille de Murad V, Fehime Sultan, a demandé à un officier allemand de déménager une maison à Nice en 1924 après avoir été exilée du pays, signée : Fehime sultane et Mahmlut Bey.

Lettre de Fehimé Sultane adressée au Colonel le 1 juillet 1924.

Lettre de Felimé Sultane adressée au Colonel, Elle est à NICE 
Promenade de Anglais au 123 Villa Marie Christine.

Cette traduction n'est pas bonne/correcte, le colonel est français, je le connais, il est mort à NICE. A partir de là je vais écrire son histoire et la liaison avec notre Famille Ottomane, une longue relation, notamment avec cette belle Princesse et d'autres membres de la Famille. A suivre...

Pourquoi j’avance ceci ? 

La raison en est simple, si elle s'était adressée à un officier Allemand elle aurait écrit dans cette langue (car la plus part des membres parlaient plusieurs langues, ou tout simplement en turc). 

De plus en cherchant sur le net, je découvre des échanges entre un certain "Fuad" et ce colonel, dans cet échange épistolaire la signature du colonel est lisible. C’est le colonel SARROU un officier du renseignement français. Comme toutes ces personnes du renseignement militaire ses photos ne sont pas pléthores.

Cet officier du renseignement français, va devenir un peu plus tard Général. La lettre ci-dessous est adressée au Colonel SARROU, elle traite d'un sujet financier - 4 mai 1922.

LETTRE Datée 1922 ENVOYÉE D'EMIRGAN AU Général SARROU, 

signée DELI FUAD PACHA (1831 - 1935).  

Surprenante signature : Le Sénateur Maréchal FUAD.

Même signature 50 ans après ?

Emirgan est une banlieue verdoyante et bourgeoise d'Istanbul, en Turquie, sur la rive ouest du Bosphore, dans le quartier de Sarıyer, au nord du pont Fatih Sultan Mehmet (deuxième pont du Bosphore).


LETTRE SIGNEE DE FEHIME SULTAN, fille du sultan Murad V, 

au général Sarrou. 4 pages, daté du 12 janvier 1922.


Fehime Sultane est née le 2 juillet 1875 au palais de Dolmabahçe. 

Son père était le sultan Murad V, fils d' Abdulmejid I et Şevkefza Kadın , et sa mère était Meyliservet Kadın . Elle était le cinquième enfant et la deuxième fille née à son père et le seul enfant de sa mère. 

Sa naissance a été gardée secrète jusqu'à ce que son père devienne sultan, les princes ottomans étant alors interdits d'avoir des enfants.

Lors de l'exil de la famille impériale en mars 1924, Fehime et son mari se sont d'abord installés à Vienne, en Autriche, puis à Nice, en France. 

A Nice, Mahmud Behçet Bey a emprunté de l'argent à Fehime sous prétexte d'ouvrir une boutique. 

Il a commencé à vendre des glaces à la turque devant une épicerie de la rue de Congrès (c’est dans le bas de NICE près de la mer), mais il a fini par s'enfuir, la laissant dans la misère. 

Bien que plusieurs autres membres de sa famille aient vécu à Nice, notamment Abdülmejid II, ils ont refusé de l'aider. 

Il ne faut pas oublier que tous les membres de la Famille Ottomane étaient dans des situations identiques, malheureusement. 

Ce comportement était dû en partie parce qu'il y avait une discorde entre les descendants du sultan Abdülaziz sous le nom d'Abdülmecid II et ceux du sultan Abdülmejid I, en raison du décès suspect d'Abdülaziz. Ses descendants croyaient en réalité au meurtre organisé par la branche "Mejids" de la famille, et en partie parce qu'ils désapprouvaient les opinions politiques de Fehime, qu'ils croyaient être la cause de la chute du Sultanat et de leur exil (franchement c’était lui donner beaucoup de pouvoir de nuisance). 

Photo faite à NICE.

Fehime Sultan, qui avait l'habitude de vivre dans le faste (son surnom la Princesse Papillon), se retrouve ainsi sans le sou et sans protection à Nice. Mademoiselle Jean Schafer de Pologne, qu'elle avait connue auparavant, l'a aidé pendant un certain temps. La sultane tomba malade et dans une grande misère. Fehime Sultan est décédé le 15 septembre 1929 de la tuberculose. Elle avait 54 ans. 

Elle a pu endurer l'exil pendant 5 ans. Son corps a ensuite été transféré au cimetière de la mosquée Sultan Selim à Damas par son neveu Osman Fuad Efendi. Fehime Sultan n'a pas eu d'enfants. 

Mahmud Behçet Bey quant à lui, il a de nouveau demandé la citoyenneté en 1949, longtemps après la mort de Fehime Sultan, il est retourné dans son pays. Il a vécu jusque dans les années 1960.

Elle continue, la vieille femme : « Sa dernière nuit, tout le temps, il t’a appelé : Loti ! Loti ! Loti !… Donc, c’est à cause de toi qu’il est mort, à cause de toi ! » Pierre Loti - FANTÔME D’ORIENT - 1892.

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Mais, revenons à cette liaison épistolaire avec un officier du renseignement français. 

Le colonel Auguste Sarrou est né le 11 mai 1874 à Patras, en Grèce. Il appartient à une ancienne famille de fabricants [de l’Hérault]. 
Il était le neveu d’August Sarrou, le commandant de l’infanterie qui a participé aux batailles individuelles du Second Empire. 
Il a étudié au Lycée Saint-Benoît à Istanbul, entre dans l’armée à l’âge de 20 ans et sert dans les délégations de la gendarmerie ottomane en Macédoine, en Thrace et en Anatolie de 1904 à 1914. 
Il était fortement impliqué dans le Harb-i umumiye. 
Il a servi comme assistant du général Foulon en Turquie. Badehu a été l’adjoint de M. Franklin Bouillon pendant le conflit d’Ankara et a également participé aux négociations d’armistice de Mudanya. En 1921. 
Il est nommé attaché de l’ambassade de Français à Istanbul avec rang de gouverneur de district et devient amiral en 1925. 
Officier de la Légion d’Honneur, Croix de Guerre avec 2 palmes, Saint-Saveur, Mecidiye Merit [et al]. Il porte le titre d’Officier d’Académie. Il meurt à Nice en 1968. 


Des questions subsistent :

  • Pourquoi la Famille a échangé en français avec un officier qui parlait le turc couramment ? 
  • Il y avait une censure en Turquie à cette époque ? (Certainement) 
  • Des échanges entre cet officier du renseignement français et la Famille semblent avoir été nombreux pourquoi ? (1922-1924) 
  • Dans quel but ?   
  •  Beaucoup de membres de la famille ont essayer de mener des actions afin de revenir en turquie ? 

 Rapport du Chef de Bataillon Sarrou Sur la Possibilité d'Une Paix Séparée Avec la Turquie. 

Battalion Chief Auguste Sarrou, Head of Mission in Syria 1917-08-31.


Il faudrait lire les livres du Général SARROU et de l'Amiral Charles-Henri Dumesnil (Y compris celui de son épouse Vera) et prendre connaissance de leurs archives, afin de mieux comprendre leurs démarches. Mais cela fait beaucoup d'officiers français autour de notre Famille...

Laissons planer ce mystère et les plus folles hypothèses s'exprimer dans nos rêves et spéculations. Peut-être un historien ou un romancier ira un jour explorer ce sujet, pour l'instant n'allons pas plus loin.  

C'est plus sage.

"Mais qui se soucie aujourd’hui de ces grands principes ? Fehimé veut avant tout s’amuser, et elle le fait avec une frénésie exacerbée par le sentiment d’avoir perdu en captivité ses plus belles années. Elle est si gaie, si légère qu’on l’appelle « la sultane Papillon », ces papillons dont elle a fait son symbole et dont elle orne toutes ses robes. C’est une artiste. Pianiste accomplie, il lui arrive même de composer. Mais il n’y a rien qu’elle déteste tant que le sérieux et les responsabilités." 

Extrait du livre de Kenizé MOURAD - De la part de la Princesse Morte. 

 

Le Général.

Il Participa à la mission internationale de réorganisation de la gendarmerie ottomane de 1904 à 1914, et fut attaché militaire à l'ambassade de France à Ankara après 1922.


Le général Auguste Sarrou est né en 1874 à Patras (Grèce). Son père était un négociant français qui vécut en Grèce et en Roumanie. Auguste Sarrou, après des études au collège S'Benoît à Istanbul entra en 1894 dans l'armée française et fit partie de 1904 à 1908 de la mission internationale de réorganisation de la gendarmerie ottomane en Macédoine, mise sur place à la suite des accords austro-russes de Muersteg. Entre 1908 et 1914 il fut au service de la Sublime Porte et prit part à la réforme de la gendarmerie, créant entre autres le corps des gendarmes-forestiers. Il revint en Turquie après la guerre mondiale et participa aux côtés de Franklin Bouillon aux accords d'Angora (1921). A la proclamation de la république il fut de longues années attaché militaire à l'ambassade de France dans la capitale turque. Il mourut en 1968 à Nice. 

Les archives du Général avec ses nombreux secrets.



Sarrou, Auguste, officier du renseignement français (1874-1968). 

Les archives d'Auguste SARROU.


Principalement Proche et Moyen-Orient, principalement 1917-1923, avec du matériel supplémentaire antérieur et beaucoup plus tardif.

Divers formats (folio, 4to, 8vo). Un total de 460 pages dactylographiées et 177 pages manuscrites (dont 9 ne comportent que 2 lignes) en 26 fascicules, réunis en 11 portfolios. Avec quelques coupures de journaux ainsi qu'une photographie de Sainte-Sophie et de la porte du palais de Dolmabahçe, montées sur carton comme cartes postales.

Une archive très importante et étendue des papiers personnels secrets du général Auguste Sarrou, chef espion français au Levant et en Turquie pendant la période critique entre 1917 et 1923, lorsque le Proche et le Moyen-Orient ont été complètement réorganisés après la disparition de l'Empire ottoman. Empire. 
Il présente de nombreux rapports d'espionnage "top secret", de la correspondance et des dossiers d'analyse politique, fournissant des informations stellaires sur le rôle central de la France dans le façonnement du destin de la Syrie, du Liban et de la Turquie, œuvrant pour contrer les forces déchaînées par Lawrence d'Arabie lors de la révolte arabe.

Les archives actuelles se composent de dizaines de rapports de renseignement classifiés, de plans directeurs politiques et de notes de terrain. La plupart des documents sont des tapuscrits ou des copies conformes de tapuscrits (beaucoup écrits par Sarrou), destinés à être distribués uniquement aux plus hauts responsables militaires et politiques français. 

Les documents couvrent toute la carrière de Sarrou, datant de 1908 aux années 1960, bien que la majeure partie des documents concerne la période critique de 1917 à 1923. Il comprend une copie dactylographiée de l'autobiographie de Sarrou, écrite à la fin de ses 60 ans de carrière.
Dans l'espionnage et la diplomatie en Turquie, dans les Balkans et au Moyen-Orient ; une série d'articles relatifs au temps où Sarrou a servi comme gendarme en Macédoine dans la décennie précédant la Première Guerre mondiale, lorsqu'il s'est notamment lié d'amitié avec de nombreux dirigeants de «jeunes turcs»; et une autre série d'articles décrivent sa "Mission d'Orient" secrète, une grande opération pour soutenir les ambitions françaises en Syrie, au Liban et en Anatolie. 

En outre, une série de rapports analytiques très importants et secrets rédigés par Sarrou fournissent un "plan de match" sur la manière dont la France devait gouverner la Syrie et le Liban (ce qui est important, le Quai d'Orsay a largement suivi les conseils de Sarrou au fur et à mesure que les choses se déroulaient). 

Il convient de noter l'évaluation brutalement peu flatteuse de Sarrou à l'égard de l'émir Fayçal, l'ancien camarade de Lawrence d'Arabie. 
De plus, il y a un rapport manuscrit intrigant d'une rencontre entre des intellectuels arabes et Djemal Pacha, le ministre ottoman de la guerre, la veille de la chute de Damas, ainsi qu'une série de rapports fascinants concernant l'attentat de 1921 contre le général Henri Gouraud, haut-commissaire français pour la Syrie et le Liban. 

Une autre série de 25 rapports de renseignement "secrets" dactylographiés compilés par le Service des informations de la Marine dans le Levant (SIL) à Port-Saïd en 1918 et 1919 contient des renseignements de terrain bruts fascinants sur les éléments anti-français à travers le Moyen-Orient, ainsi que les efforts des moyens français pour contrer ces forces par le contre-espionnage et la propagande. 

Une collection diversifiée de documents de recherche dactylographiés et manuscrits, ainsi que de la correspondance provenant d'actifs clés, réunis par Sarrou de 1919 à 1922, est complétée par une série de rapports dactylographiés très perspicaces, rédigés par Sarrou pour conseiller le gouvernement français sur la situation en Turquie. de 1921 à 1931, couvrant la montée de la nouvelle république d'Atatürk et les efforts français pour gagner de l'influence à Ankara. Enfin, il y a une collection de lettres.

De nombreux éléments des archives actuelles sont probablement des survivants uniques, tandis que quelques exemples de certains des tapuscrits peuvent exister dans diverses archives officielles françaises. Une liste détaillée est disponible sur demande.

Code de stock : BN#49674 : Sarrou, Auguste Les archives d'Auguste Sarrou. - Antiquités INLIBRIS ... - Antiquités INLIBRIS Gilhofer Nfg.

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Histoire de Fehime Sultane

https://en.wikipedia.org/wiki/Fehime_Sultan

https://www.hurriyet.com.tr/gundem/ortakoy-tarihten-temizlendi-sultanlarin-kemikleri-sizliyor-87387

Mütâreke (1918-1922) zamanında, İstanbul’da bulunan ecnebi diplomat ve gazeteci eşleri, sık sık sultanın konağındaki davetlere iştirak eder; hatta sultan bundan dolayı töhmet altında kalırdı. Amiral Dumesnil’in zevcesi Vera Dumesnil hatıralarında buna geniş yer vermektedir. Halbuki Fehime Sultan, bunlardan elde ettiği istihbaratı, alâkadar Osmanlı makamlarına ve akrabası olan subaylar vasıtasıyla Ankara’daki Kuva-ı Milliye hükümetine haber veriyordu. Ancak bu vatanseverliğinin cezasını çok acı çekti. 

-  Pendant l'armistice (1918-1922), les épouses des diplomates et journalistes étrangers à Istanbul assistaient souvent aux invitations dans l'hôtel particulier du sultan ; même le sultan serait impliqué pour cela. Véra Dumesnil, l'épouse de l'amiral Dumesnil, y fait une large place dans ses mémoires. Cependant, Fehime Sultan informait les autorités ottomanes et le gouvernement Kuva-ı Milliye à Ankara par l'intermédiaire de ses proches, des renseignements qu'il avait obtenus d'eux. Mais il a subi la sanction pour son patriotisme.

(ATTENTION : Il faudrait chercher un peu plus pour avoir des informations sur ces informations - Ceci afin de recouper les sources).

 

Voir aussi le site de Ayşe Osmanoğlu.

The Gilded Cage on the Bosphorus - Ayşe Osmanoğlu (ayseosmanoglu.com)

https://ayseosmanoglu.com/book/the-gilded-cage-on-the-bosphorus/

Ayşe Gülnev Osmanoğlu is a member of the Imperial Ottoman family, being descended from Sultan Murad V through her grandfather and from Sultan Mehmed V (Mehmed Reşad) through her grandmother. After reading History and Politics at the University of Exeter, she then obtained an M.A. in Turkish Studies at SOAS, University of London, specialising in Ottoman History. She lives in the UK with her husband and five children.

Source 

63. Müzayede Efemera ve Fotoğraf | İstanbul Müzayede (istanbulmuzayede.com)

https://www.istanbulmuzayede.com/muzayede/6762/63-muzayede-efemera-ve-fotograf/sayfa/2


Turquisme: L'officier français Auguste Sarrou : un témoin de premier plan de la révolution jeune-turque

https://turquisme.blogspot.com/2021/01/lofficier-francais-auguste-sarrou-un.html

https://inlibris.com/item/bn49674/ 

https://data.bnf.fr/fr/14531079/auguste_sarrou/


Sarrou, Auguste Les archives d'Auguste Sarrou. - Antiquités INLIBRIS ... - Antiquités INLIBRIS Gilhofer Nfg.

https://inlibris.com/item/bn49674/


Le lieutenant-colonel Sarrou : "Les chrétiens de Cilicie, Arméniens et Grecs, (...) - Turquie News (turquie-news.com)

https://www.turquie-news.com/le-lieutenant-colonel-sarrou-les-chretiens-de

 Lieutenant-colonel Auguste Sarrou, « Impressions d’Anatolie », Revue économique française, XLIV2, mars-avril 1922, p. 95. Also see Bulletin spécial de renseignements du 2 décembre 1921, CADN, 1SL/1V/163. https://archives.saltresearch.org/handle/123456789/1511


Hellénologie: L'officier Auguste Sarrou et les Grecs (hellenologie.blogspot.com)

https://hellenologie.blogspot.com/2021/05/lofficier-auguste-sarrou-et-les-grecs.html

 Lieutenant-colonel Auguste Sarrou, « Impressions d’Anatolie… », p. 90. Also see « La paix en Orient — Entretien avec M. Lenail sur l’accord franco-turc conclu à Angora », Excelsior, 28 novembre 1921, p. 2.

 Auguste Sarrou, « Impressions d’Anatolie », Revue économique française, XLIV-2, mars-avril 1922, pp. 87-96.

Le Capitaine Sarrou…, pp. 99-100. Also see Cemal Paşa, Memories of a Turkish Statesman. 1913- 1919, New York: George H. Doran C°, 1922, p. 102.


Salt Araştırma: Program of the [French] Intelligence Service in Port-Said (saltresearch.org)

https://archives.saltresearch.org/handle/123456789/32521


sar1.pdf (antiquariat-pahor.de)

http://antiquariat-pahor.de/sar1.pdf

Cours, séminaires, colloques | Edhem Eldem - Histoire turque et ottomane | Collège de France (college-de-france.fr)

https://www.college-de-france.fr/chaire/edhem-eldem-histoire-turque-et-ottomane-chaire-internationale/events


Gorgias Press. Le Capitaine Sarrou un officier français au service de l’empire ottoman

https://www.gorgiaspress.com/le-capitaine-sarrou-un-officier-francais-au-service-de-lempire-ottoman


 Charles-Henri Dumesnil : 
Contre-amiral (mars 1919), chef de la délégation française à la Commission navale de contrôle à Berlin (1920), il est le commandant de la division légère en escadre de Méditerranée orientale et prend part à l'évacuation de la Crimée. Il réorganise aussi les services de la marine à Constantinople où il se signale encore en sauvant la colonie française de Smyrne pendant l'incendie de la nuit du 13-14 septembre 1922, durant la guerre gréco-turque.


Le Bosphore Tant Aime - Dumesnil Vera.

 https://bibliotheques-numeriques.defense.gouv.fr/mediatheque-en/document/a3f1ef1f-57ac-4bc0-987f-c6ce301aae06


Kuva-yi_Milliye

https://en.m.wikipedia.org/wiki/Kuva-yi_Milliye

https://en.m.wikipedia.org/wiki/Kuva-yi_Inzibatiye

TİTRE Programme du service de renseignement [français] à Port-Saïd

AUTEUR/PRODUCTEUR Chef de bataillon Auguste Sarrou, chef de mission en Syrie

DÉFİNİTİON

Le document porte sur une description détaillée des missions et de la structure du Service de Renseignements de la Division Navale en Syrie [Service de Renseignements (SR)] à mettre en place à Port-Saïd.

Rapport AFMSRDOC001005 joint

DATE DE SORTİE 1917-04-20

LANGUE Français

PORTÉE Thessalonique

EMPLACEMENT PHYSİQUE Recherche SALT

https://archives.saltresearch.org/handle/123456789/32521




Les Archives :


Ce que disait un officier du renseignement Français sur la Turquie en 1923 (Probablement la première moitié de 1923).

Rapport du lieutenant-colonel Auguste Sarrou sur la situation en Turquie.   Auguste Sarrou (1874-1968), fils d’un marchand français au Collège Saint Benoît d’Istanbul et de la mission internationale œuvrant à la structuration de l’Organisation de la gendarmerie ottomane et sous Bab-i li dans les années suivantes, fait partie de la délégation de Franklin Bouillon venu pour les accords d’Ankara en 1921 et prend sa retraite de l’attaché militaire de l’ambassade de France en République de Turquie. Les archives comprennent les rapports et les cartes militaires qu’il a préparés alors qu’il était en Syrie pendant la Première Guerre mondiale et les traductions françaises des coupures de journaux turcs qu’il a rassemblées alors qu’il était responsable de l’ambassade d’Ankara.




Erol GIRAUDY OSMAN




dimanche 12 mai 2024

LA DYNASTIE OTTOMANE EN EXIL

SUIVRE LA DYNASTIE OTTOMANE MÊME EN EXIL !

Cette traduction est une reformulation de la première version turque, 
visant à la rendre plus fluide en utilisant des termes français.


Les membres de notre dynastie ottomane comprenaient très bien où ils vivaient et les exigences de l’époque. Ils savaient exactement que faire et que dire.

Quelle est votre opinion sur la République ?

C'est une interrogation récurrente adressée aux descendants de la dynastie ottomane : « Quel est votre avis sur la République ? » 

Comment juger un système et ses représentants qui déchoient leurs familles de la nationalité, les bannissent de leur terre natale, anéantissent leurs possessions et les plongent dans la pauvreté, du septuagénaire au nourrisson ?

Ces individus, parfaitement conscients de leur réalité intime, ne partagent leurs émotions authentiques qu'en cercle restreint. Leur prudence et leur bienveillance les retiennent de s'exprimer ouvertement. 

Nous avons constaté cette tendance chez presque tous les membres de la dynastie que nous avons rencontrés. Leurs véritables pensées ne sont pas dissimulées pour celui qui sait déchiffrer les non-dits de leurs propos et écrits.

Le chef de la dynastie, le prince Osman Ertuğrul Efendi, a adroitement exprimé le problème en déclarant : « Si la dynastie était demeurée dans le pays, Ankara n'aurait pas pu agir à sa guise ».

Leurs réponses à ces questions, formulées dans l'intention de recueillir des aveux, ne sont rien d'autre que des subornations.



Une lettre sur l'espionnage d'Abdülmecid Efendi

Comportement de certains membres de la famille vis-à-vis des révolutionnaires.


Même en exil, certains ont fait preuve de prudence et ont manifesté de la sympathie envers les révolutionnaires, dans l'espoir de pouvoir un jour retourner dans leur patrie. Faruk Efendi a conseillé aux princes : « Oh, ne portez pas le fez ! Plus nous sommes vus avec le fez, plus cela engendre du ressentiment à Ankara », a-t-il affirmé.

De par leur intelligence et leur noblesse, et grâce au réalisme forgé par leurs expériences, ils se sont abstenus de toute implication politique et ont esquivé les propos et actions susceptibles de les compromettre. Car même en exil, ils demeurent des personnes de mémoire.

Après l'octroi de l'autorisation de retour, certains membres ont ressenti la peur de l'exil dans leurs os. Neslişah Sultan, ayant vécu deux exils, a averti sa cousine Mihrişah Sultan : « Oh, ne parlez pas aux califes ! Sinon, vous risquez de nous faire expulser à nouveau. » Néanmoins, il a l'habileté de dire : « Tout ce qui est beau a été réalisé par mes aïeux. »

Il ne faut pas être dupé par leur apparence occidentale moderne. Ils sont conscients que ce qui se déroule représente une révolution vestimentaire. La plupart sont des individus authentiques, dévoués à la démocratie et aux droits humains, possédant un sens esthétique prononcé et un bon goût.

Laissons les choses en l'état.

Sabiha Sultan, fille et confidente du sultan Vahideddin, mentionne l'assassinat d'Izmir dans une lettre datée du 1er juin 1926, adressée à son époux Ömer Faruk Efendi, alors en Syrie pour les obsèques de son père :

« Quel dommage qu'un complot si minutieusement orchestré ait échoué ! Quelle infamie, quelle honte, si l'on avait saisi cette chance pour éliminer certains opposants, indubitablement l'élite du pays !

Face à la proposition de Hanzade Sultan d'écrire ses mémoires, Sabiha Sultan refusa : « Non, je ne souhaite pas créer de problèmes. La révolution est achevée. Je ne désire pas que les Turcs s'affrontent. "Laissons les choses en l'état", a-t-elle déclaré.

Le Calife Abdülmecid Efendi lors d'une fête à la mosquée de Paris

L'un des espions à l'intérieur

Durant son exil, le sultan Vahideddin a émis des déclarations soulignant l'injustice du traitement infligé par le gouvernement d'Ankara. Il espérait que la situation se calmerait bientôt et qu'il pourrait retourner dans sa ville natale.

Toutefois, vivant à Malte et au Hedjaz, il comprit les intentions réelles des Britanniques envers le sultanat et la nouvelle Turquie, ce qui le conduisit à perdre tout espoir, en particulier après l'abolition du califat et l'exclusion de la dynastie des frontières de la nation.

Néanmoins, Ankara établit un consulat à Gênes, non loin de San Remo où résidait le sultan, pour y conduire des opérations de renseignement, bien que cela semblât superflu. Sertabip Reşad Pacha, Tütüncübaşı Şükrü et Zeki Bey, proches du sultan, furent arrêtés par Ankara. 

Ils devaient rendre compte à Ankara. 

Par la suite, Reşat Pacha et Zeki Bey se donnèrent la mort, accablés de honte.

La dynastie a clairement exprimé l'injustice ressentie. 

Cependant, aucun membre n'a pris de mesures politiques pour reconquérir le pouvoir depuis l'exil. Lorsqu'ils étaient dans le pays, ils n'étaient ni riches ni figures politiques, ce qui les a empêchés d'entreprendre de telles actions.

L'abolition du sultanat et du califat, ainsi que l'exil de la dynastie, étant déjà désirés par les alliés, et aucune tentative de ce genre n'étant possible sans leur consentement, Ankara n'avait pas à se préoccuper de cette affaire.

Alors que Hümeyra Hanımsultan, petite-fille du sultan Vahideddin, séjournait à San Remo, elle partageait l'anecdote d'un incident impliquant son grand-père et un hymne sur les héros d'Ankara, mal interprété à cause de cette crainte.

Toutefois, lors d'une interview accordée à un magazine historique, on lui a posé la question : « Quels sont vos sentiments envers le sultanat ? » Sa réponse fut : « Que suis-je maintenant ? Voilà ce qu'ils demandent. Je réponds : 'Je suis royaliste'. Mais cela ne signifie pas que je sois enthousiaste à l'idée d'une restauration au sens large. J'ai une sympathie pour les traditions royales. (Rires) C'est ainsi que je choisis même mes équipes de football. Je soutiens les Pays-Bas et l'Angleterre simplement parce qu'ils représentent les équipes royales. » Personne ne peut me retirer cela... 

Cependant, si l'on prétendait qu'il pourrait y avoir autre chose qu'une république en Turquie aujourd'hui, je ne le comprendrais pas.




Interdiction au Calife de faire de la politique

Le gouvernement d'Ankara, profondément perturbé par les déclarations du calife Abdülmecid Efendi, a transmis une note à la Suisse demandant d'empêcher le calife de poursuivre ses activités et déclarations politiques. Réalisant qu'il ne pouvait résider en Suisse, le calife s'est établi en France, sous la condition de s'abstenir de toute activité politique.

Pour surveiller l'ex-calife, Ankara a établi un consulat à Nice, malgré la présence d'un autre consulat à Marseille. Les archives d'État sont remplies de rapports invraisemblables provenant de cette source, prétendant par exemple que le calife menait des activités politiques avec des membres de la dynastie vivant dans la pauvreté ou qu'il cherchait à vendre le titre de califat.

Lorsque des rumeurs ont circulé sur un possible déplacement du calife à Londres pour l'inauguration d'une mosquée et une rencontre avec le roi, Ankara a assuré officiellement que le gouvernement britannique ne lui accorderait pas de visa, empêchant ainsi son voyage à Jérusalem.

Ankara s'est opposée à des mariages.

Lors de l'incident de Cheikh Saïd qui secoua les provinces orientales en 1925, Ankara demanda à la France de transférer le prince Mehmed Selim Efendi, qui résidait tranquillement à Damas, loin de la frontière. En conséquence, le prince fut à nouveau exilé et déplacé de Damas à Beyrouth. De la même manière, le prince Ahmed Nihad Efendi, résidant à Alep, fut aussi transféré à Beyrouth.

Le consulat de la République à Alexandrie et l'ambassade au Caire reçurent des instructions d'Ankara pour surveiller le prince Ömer Faruk Efendi, vivant à Alexandrie. Ömer Faruk Efendi était perçu par le gouvernement républicain comme l'un des princes les plus inquiétants.

Les mariages entre membres de la dynastie ottomane et de certaines dynasties musulmanes ont régulièrement inquiété Ankara. Ces unions représentaient une chance de renforcer la dynastie sur les plans politique, social et économique, ce qui était la principale inquiétude d'Ankara.

Ankara s'est opposée au mariage de la sultane Dürrişehvar, fille du calife Abdülmecid Efendi, avec le fils du Nizam d'Hyderabad, un souverain indien sous tutelle britannique, en 1931 ; Londres a calmé les tensions en assurant que le mariage n'avait pas de signification politique.

Le mariage du fils du sultan Hamid, Abid Efendi, avec la princesse Seniye, sœur du roi albanais Ahmed Zogu, a causé une crise diplomatique entre Ankara et Tirana. Le roi n'ayant pas d'héritier, sa sœur et donc Abid Efendi, étaient en ligne pour le trône. Tirana dut rassurer Ankara après ce mariage.

Bahaddin Sami Bey, petit-fils de Mediha Sultan, postula pour un poste de traducteur dans l'armée britannique. Sa candidature fut rejetée sous le prétexte qu'il serait préjudiciable pour le gouvernement britannique de soutenir une famille cherchant à rétablir le sultanat ottoman, après une note non officielle envoyée par le Premier ministre turc Şükrü Saraçoğlu au gouvernement britannique en 1940.




Ils ont essayé de faire disparaître les sultans.

La perception négative de l'idéologie officielle envers la dynastie n'a pas évolué avec le temps. Même après l'annulation de leur exil, les descendants de la dynastie en Turquie ont dû dissimuler leur héritage pendant longtemps. Les injures et les calomnies proférées contre leurs aïeuls dans les écoles ont bouleversé ces enfants.

Quand Vildan Hanım, la petite-fille de Cemile Sultan, a entendu les paroles « Ils ont écarté les ennemis, ils ont submergé les sultans » d'une chanson populaire des années 1930 à l'école primaire Kızıltoprak Enver Pacha, elle a éclaté en sanglots. L'image de ses grands-parents exilés s'est ravivée dans son esprit.

Heureusement, son enseignant, une personne compatissante, ne lui a pas fait chanter cette chanson en classe. (Memet Fuat, Années dans l'ombre) Des témoignages similaires ont été partagés par Resan, le petit-fils de Fatma Sultan, et Yasemin Hanım, la petite-fille de Zekiye Sultan ; cependant, leurs enseignants n'ont pas fait preuve de la même équité.

Cette traduction est une version retravaillée du texte turc original, conçue pour couler plus naturellement en employant des expressions françaises.





« L'idée de notre expulsion nocturne de ce pays, sans même avoir eu le temps de faire notre lessive, me tourmente. Même un serviteur humain est renvoyé, autorisé à emporter ses possessions. Une famille ancrée depuis 600 ans n'avait-elle donc aucun droit ici ? Les filles et les femmes de la dynastie ottomane enduraient la faim dans les villes étrangères des pays européens où elles étaient reléguées ; cependant, elles n'ont jamais renoncé à leur dignité. » Emine Nemika Sultan, fille du prince Selim Efendi

Le 3 mars 1924 marque un tournant dans l'histoire turco-islamique avec l'abolition du califat, institution musulmane millénaire. Environ 200 membres de la famille impériale ottomane, représentant l'une des plus anciennes dynasties historiques, ont été dépossédés de leur nationalité et exilés. Ce fut le commencement d'un quotidien précaire pour tous, des aînés aux nourrissons. La plupart vécurent en exil, sans patrie ni passeport, confrontés à une souffrance inexprimable. 

Sans argent en banque, liquide, ni famille à l'étranger, certains mendiaient pour des médicaments, d'autres survivaient grâce à la charité des voisins, mouraient de faim, se suicidaient par désespoir, perdaient la raison ou étaient inhumés dans des fosses communes. Malgré tout, ils s'efforçaient de préserver leur dignité et leur honneur. 

Ainsi s'éclipsa la famille ottomane de la scène politique. Les femmes furent autorisées à retourner dans leur patrie en 1952, suivies par les hommes en 1974. 

Toutefois, la majorité, ayant refait leur vie à l'étranger, ne put ou ne voulut rentrer.

Ekrem Buğra, historien du droit et spécialiste reconnu de l'histoire ottomane à travers ses écrits et émissions télévisées, a consacré une monographie singulière aux derniers descendants de l'Empire ottoman dans son ouvrage intitulé La Dynastie Ekinci en exil.

Êtes-vous prêt à entendre leurs propres récits sur ce que tous les membres de la dynastie ont vécu en exil ?

Faux tableau de droite pour la 1ère édition (18.02.2017)

Faux tableau de droite pour la 2ème édition (18.02.2017)

Faux tableau de droite pour la 3ème édition (01.08.2017)


Sürgündeki Hanedan - Timaş Yayınları (timas.com.tr)



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Erol GIRAUDY